sexta-feira, 30 de setembro de 2011

Française

Roberto Da Silva 40 Anne avec l´Art
CURRICULUM

Expositions de Roberto Da Silva – Musée de Romans, 2, rue Sainte Marie, Romans – Drôme, France - 2001
“Pour comprendre l´art de Pernambouc du Nordeste brésilien, il est important de comprendre que les caricatures de Daumier, traintent de phénomène social, et qu´elles feront resurgir Durkneim (père de la sociologie). Vision réaliste d´une société observant les phénomènes sociaux sous divers angles, sans implication émotionnelle. Ce qui sera une source de recherches pour l´apparition du Cubisme, début des annèes 1900. Le Cubisme cartésien utilise ces connaissances pour ses fondements théoriques : analyse d´une société à travers un cube.
En suivant cette ligne de pensée nous pouvons somprendre le phénomène esthétique qui s´accomplit à Recife : l´agonie de Tobias Barreto a caché le positivisme d´Auguste Comte ; les réflexions de Silvio Romero entre la sociologie, le positivisme de Barreto, la tranquillité d´Arthur Orlando, laissant un passage ouvert au culturalisme du Nordeste brésilien.
Conséquence naturelle à l´apparition du grand sociologue et anthropologue Gilberto Freyre, préocupé pour une Nouvelle École de Recife proposant une vision sociologique et anthropologique du Peuple brésilien, le mélange des races (Européens, Africains, Amérindiens) formant une nouvelle culture.
A la signification « d´être Brésiliens » s´ajoute la Pernambucanité. Pernambouc ou plusieurs cultures se fondent de manière harmonieuse, et où nous trouvons le contenu plus significatif à travers la culture populaire.
On ne peut alors détacher l´artiste pernambucain de ses racines dans la culture poupulaire. Il faut comprendre l´art de Pernambouc dans une logique esthétique.
L´École Pernambucainne de l´ Art.
La synthèse de notre culture urbaine : identifier les structures architecturales des realtions entre les trois cultures. Parcourir ce chemin, c´est rechercher « la face cachée de l´art ».
Ce qu´il y au-delà du tactile, de l´auditif et de visuel dans l´art. L´art se sent, il ne se voit pas.
Nous sommes tous soumis aux relations symboliques de la culture.
La culture métisse d´un peuple comme le notre est un véritable engrenage de symboles, signes et archétypes qui s´articulent et luttent entre eux, au niveau de notre inconscient, intersémiologique formant une nouvelle culture.
Dans notre cas l´Art Contemporain comme les musiciens Chico Science, Lenine et notre mouvement artistique « Realisme Urbain ».
Roberto Da Silva
Romans, 2001


Roberto Da Silva – Musée de Romans, France 2001


Bulletin du Musée de Romans – Roberto Da Silva  „Architecture des Symboles“ Musée de Romans, 2 rue Saint Marie – Romans, France
Bulletin Exposition Arts Plastiques
Exposition
“Architecture des symboles” du 05 mai au 10 juin 2001
Roberto Da Silva, artist brésilien nait à Recife dans l´Etat de Pernambuco.
Issu d´une culture urbaine, il est aussi baigné d´une culture métisse où se mélangent les civilisations européennes, africaines, amérindiennes. Cela débouche sur une nouvelle culture, qu´il appelle « un véritable engrenage de symboles, signes et archétypes qui s´articulent et luttent entre eux ».
L´artiste déclare ausi : « L´art se sent, il ne se voit pas ». Ces oeuvres suscitent tous nos sens, et en particulier le toucher. D´où la création d´un tableau destiné aux nonvoyants sur l´un des murs de la salle.
Fabienne Dorey



Architecture des symboles
ROBERTO DA SILVA
En parallèle avec les sculptures, dans le jardin de la visitation, Serge Huot, artiste français formé au Brésil, l´Espace Visitation accueille le travail de Roberto Da Silva, artiste brésilien fondateur du groupe des Réalistes Urbains.
Cette exposition s´inscrit dans le programme du Musée de Romans et dans l´action de l´association romanaise Transvision qui a participé à sa réalisation ainsi que dans le programme de l´association franco-brésilienne Leão do Norte  qui encourage les échanges culturels entre ces deux pays.
Le travail de Roberto Da Silva est représentatif de l´Art actuel du Pernambuoc à la fois par l´attachement à ses racines culturelles et par sa modernité, partie prenante du Minimalisme et de l´Arte Conceptuel.
Dans la première salle de l´Espace Visitation, il installe deux oeuvres, « Panneaux pour déficients visuels » dont la qualité tactile un lien avec les oeuvres en béton teinté de Serge Huot et met l´accent sur une autre réalité sensibile de l´Art.
La grande salle reçoit trois installations, dédiées respectivement à l´esprit et la pensée (en relation à la Kabbale, livre théosophique juif), à la pratique et le matériel, et à la culture. A gauche en entrant un ensemble de dix losanges en papier, suspendus dans l´espace entre le sol et le plafond, légers comme des certs-volants dessinent en trois dimensions des colonnes faites de vide et de plein, illuminées par de petites bougies au sol, qui accentuent le rythme de l´espace.
Du coté droit de la salle, l´artiste a installé une oeuvre qui se réfère directement à la littérature de Cordel. Cette tradition brésilienne, héritée des troubadours, consiste à imprimer et à faire sécher sur des cordes des textes et dessins de l´Art des troubadours. Des exemples de littérature de Cordel sont visibles dans la vitrine.
Ici, Roberto Da Silva crée un asemble de planches, à comprendre comme les pages d´un livre, inspiré du poéme médiéval « La chanson de Roland ». Réintroduit dans la culture brésilienne, ce poéme évoque des réalités vécues, comme la présence de Lampião, célèbre bandit exécuté vers 1930, resté comme un Robin des Bois dans la mémoire populaire.
Au fond de la salle, une installation évoque la multiple origine de la culture du Pernambouc, les plus ancien état du Brésil. Suspendus, des cartons contiennent des symboles de l´occident, visibles sur une cathédrale de Lisbonne, pedant que, au sol, des cercles rouges intègrent des symboles pernambucains et des carrés présentent des lettres de l´alphabet hébreu.
Le Brésil est significatif du métissage entre cultures. Roberto Da Silva s´attache à montrer la richesse de cette diversitè et, par l´Art, nous communiquer un message d´ouverture et de meilleure compréhension entre les peuples.
Ulrike Ahme, Pascal Duvert
Romans 2001







Journal L´impartial Region – Hebdomadaire   Culture/Sortier, n. 2575-17. Année – Jeudì 10 Mai 2001, pg 60  LA SEMAINE “SCULPTURELLE”
Architectures et symboles
« Des réalisation de conception très simple et sans difficulté de confection qui laissent perplexe.
Nous n´y avons rien compris et avons interrogé des connaisseurs présents parmi les invités qui passent généralement pour des gens avertis, eux non plus n´y comprennent rien. Pourtant une documentation sur le travail de Da Silva fait référence au positivisme d´Auguste Comte et du grand sociologue et anthropologue Gilberto Freyre »
Claude Hinnenberger



Roberto Da Silva
Expositions personnelles
1973 – OLINDA, Brésil. Musée d´Art Contemporain de Pernambouc
1974 – RECIFE, Brésil. Galerie Linea
1980 – ROME, Italie. Nouvelle Galerie International
1981 – VIENNE, Autriche. Banque du Brésil
             ROMA, Italie. Studio AM16
1983 – MUNQUE, Allemagne. Consulat du Brésil
            ÜBERSEE FELDSWIES, Allemagne. Kunsthaus
1984 – WEINHEIM, Allemagne. Volksbank
1985 – ROME, Italie. Centro Documentazione, Recherce Art Contemporain ¨Luigi Di Sarro”
             MAINZ, Allemange. Chambre de Commerce et d´Industrie de la Rhénanie  
            ROME, Italie. Mikros Architectura
1986 – ROME, Italie, Studio Spazio
            RECIFE, Italie. Galerie Métropolitaine d´Art Aloisio Magalhães
1987 – POMPEIA (SÃO PAULO), Brésil. Bibliotèque Monteiro Lobato
            MILAN, Italie. Citybanque- CITIFIN Galerie
1992 – RECIFE, Brésil. Institut de la Culture Brésil, Italie
2001 – ROMANS, France. Musée de Romans
2003 – RECIFE, Brésil. Institut des Aveugles
            RECIFE, Brésil. Place de Marco Zero (Performance)
2008 – RECIFE, Brésil. Musée Murilo La Greca



Expositions Collectives
1971 – JOÃO PESSOA, Brésil. Musée d´Art Sacré
1973 – OLINDA, Brésil. Musée d´Art Contemporain de Pernambouc
            RECIFE, Brésil. Musée d´État de Pernambouc
1975 – ATLANTA, USA. Académie dês Beaux Arts
            RECIFE, Brésil. Pinacoteque Citèe du Recife
1979 – ROME, Italie. Nouvelle Galerie International
1980 – FLORENCE, Italie. Galerie Il Cenacolo
            HEIDELBERG, Alemange. Heidelberger Association
            ROMA, Italie. Galerie d´Arte Maison du Brésil
1981 – VIENNE, Autriche. Künstlerhaus
            ROMA, Italia. Studio AM16
1982 – PARIS, France. Grand Palais des Champs Elysées
            SÃO PAULO, Brésil. Fondation Mogid Okada
1984 – IBIZA, Espagne. Musée d´Art Contemporain IBIZAGRAFIC84
            BARCELONA, Espagne. Fondation Joan Miró
1985 – MAINZ, Alemange. Chambre de Commerce et d´Industrie de la Rhénanie
1986 – RECIFE, Brésil. Galerie Metropolitain d´Arte Aloisio Magalhâes
1987 – BERLIN (DDR), Alemange. INTERGRAFIC87 Biennale
1988 – RECIFE, Brésil. Institut de la Culture Brésil, Italia (Realisme Urbain)
1990 – RECIFE, Brésil. Universitè Catolic
1992 – TOURNON, France. Atelier de Tournon
1996 – MARSEILLE, France. Presbytère du Hors-Là - Association
             VARSOVIE, Pologne. Plakatu Biennale
1998 – ROMA, Italie. Centre pour la Culture de Rome
2001 – ROMANS, France. Galerie TRANS
2005 – RECIFE, Brésil. Espace Manuel Bandeira, Livraria SARAIVA                                                          (L´École Pernambucain de l´Arte)
2008 – RECIFE, Brésil. Musée Murilo La Greca


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